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Ain't it fun?

On passe son temps à parler au vent, et y a jamais aucun mot qui revient.

Alors chaque matin tu te léves et tu dois esquisser un putain de sourire pour faire plaisir aux gens,c'est ça l'existence?

Malheureusement, pour ma part je suis lasse de tout ça. La bête ne trouvera jamais la belle et finira par se déchirer et se nourrir de sa propre chaire, comment pourrait il en être autrement?

Je ne me suis jamais caché dans l'ombre, j'ai toujours dit les mots qui malheureusement brulaient ma peau. Blah blah blah, blog des lamentations? Non je créve juste de froid...

J'ai jamais tracé de plan sur la cométe, interdiction de se faire des films. Dans les films, le loser finit toujours par rencontrer sa moitié, et je suis et reste fatalement impaire,même la pellicule ne veut imprimer ma face, que ce jeu devient pathétique. Ain't it fun?

Aller je vais chercher du rêve en bouteille pour continuer à écrire.

Desperados... soyons soft :) Vieille rengaine!

Such fun...

Et si:

- Je me foutais la boule à z, ouais juste comme ça pour qu'un changement radicale s'opére et qu'on me fasse plus remarquer que j'ai le front populaire.

- Je me faisais passer pour quelqu'un d'autre et que j'allais trainer sur les forums d'internet,du genre, je suis une star du r'n b à madagascar,ou je suis l'inventeur de fessebouc, je brancherais à mort et aprés je me mettrais en away (vous avez remarqué ça aussi? les gens qui sont connectés et qui se mettent en invisible? Moi ça me tue... je comprends pas... mais c'est peut être parceque je suis un putain de sauvage et que personne ne m'aime).

- J'inventais des bouteilles de desperados qui se rechargent dés qu'on les achéve,comme ça y aurait plus besoin d'atterir.

- J'arrêtais d'être trop gentil et naïf. Je devrais tuer le dernier espoir, brancher la guitare sauter jusqu'à faire exploser les vis qui tiennent mon genou et hurler jusqu'à en crever. (merci gentil blog de recevoir toute cette haine sans me cracher au visage, et oui je parle à mon blog, aujourd'hui j'ai parlé au téléphone, sur internet,ici et je n'ai vu aucun visage humain, et oui c'est possible...)

- Je m'achetais une petite amie, juste pour qu'on arrête de penser que je suis "gay"

C'est la lose totale...

Je n'ai jamais rien imaginé de mal ou de bien, j'ai juste pensé un moment que je pouvais compter...

Mais je suis un monstre, je suis horrible et repoussant, et tu as bien raison de fuir loin... trés loin...

PS: ne pas chercher à qui correspond le "tu"(la personne ne lira certainement jamais ces lignes et je ne sais même pas si elle existe), peut être que je m'adresse à ma bouteille qui commence à être loin, trop loin, proche du vide...comme moi...

PS2: tout ceci est trés imagé. Mais voilà j'ai juste un truc à rajouter, même pas... A HURLER:

LOVE STINKS!

Je mets quelques clips :

Apoptygma berzerk

In this together

http://www.youtube.com/watch?v=Q-Jg_CvHVaY

you keep me from breaking appart

http://www.youtube.com/watch?v=tsTT8jOaTVo

Et je peux guére en rajouter plus avec cet extrait qui vient d'un de mes films preferés et qui me portent depuis plus de 5 ans,finalement...

http://www.youtube.com/watch?v=I8gHx2X7ve0

 

 

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