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sommer...liebe...

Kokain.

Au fur et à mesure que j'avançais ton regard se perdait dans l'oubli infini. Darker,deeper.

La foule te dévore déjà,sa salive de putain t'entraine au fond de sa bouche pour un dernier refrain. Bouge ton petit corps, fais le s'éclater contre le bitume,qu'il te consume. Je ne veux pas de ton dernier sourire,garde le,crache le,laisse mourir le désir. Le plaisir est la derniére chose en ce monde qui puisse me rendre ivre. Un jour nous fûmes amis,un jour nous fûmes amants,tu danses sur les cendres de ma chaire, ma chére... Que reste-t-il de décembre... Un long moment blanc finalement inexistant. Love hurts.

Les périls de l'exil.

Le bûcher de vos vanités auquel vous m'avez enchaîné n'aura pas eu raison de ma déraison. J'étais loin,si proche du rien. Il n'y avait que mes mains pour sentir les flammes se rapprocher,mais comme toi elles m'ont abandonné. Mes yeux ont vascillé quand je les ai vu danser. Je me suis réveillé dans le blanc coma linéaire d'une ligne sans point.Pourtant tout à une fin?

Je suis revenu, le visage brûlé par le passé et ce soir tu l'as bien fixé. Je ne t'ai jamais detesté,je ne laisserai qu'un mot se pendre au bout de mes lévres:Pourquoi?

Il n'y a pas de jeu sans je.

Ton souffle haletant ne brisera plus mes silences nocturnes.Je ne veux pas de ton dernier soupir,garde le,crache le,laisse mourir mon souvenir. Mes cris futurs détruiront vos approximations.Je suis détermination,présent imparfait,une terminaison nerveuse qui s'en fout des sens. J'avance. Le soleil glisse sur ma peau comme vos mensonges,je serpente,mon poison sera encre de vos maux. Rock'n roll. Fuck you all.

Sommer

Liebe

Kokain.

 

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